terça-feira, outubro 17, 2006

Éloge à Stendhal.
Éloge à l’Amour.




… Laissez travailler la tête d’un amant pendant ving-quatre heures, et voici ce que vous trouverez : Aux mines de sel de Salzbrour, on jette, dans les profondeurs abandonnées de la mine, un rameau d’arbre effeuillé par l’hiver ; deux ou trois mois après on le retire couvert de cristallisations brillantes : les plus petites branches, celles qui ne sont pas plus grosses que la patte d’une mésange, sont garnies d’une infinité de diamants, mobiles et éblouissants ; on ne peut plus reconnaître le rameau primitif.


Ah Monsieur Stendhal, jamais je n’oublierai votre admirable, et cruellement exacte théorie.
Ah Monsieur Stendhal… comment pouvons-nous combattre la vulnérabilité de cette « maladie de l’âme, nommée amour » ?

0 Estrunfes que tentaram tirar o protagonismo:

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